Chaque lundi, nous vous proposons de voyager dans l’Histoire de la pédagogie, à travers les portraits des plus grands pédagogues et théoriciens qui ont influencé nos modèles contemporains.
Krishnamurti, c’est qui ?!
Né à Madanapalle (Inde) en 1895, Krishnamurti est un philosophe indien au parcours peu commun ! Éduqué en Angleterre par les fondateurs de la Société théosophique – un nouveau courant spirituel –, Krishnamurti était destiné à incarner le rôle de messie pour cette religion très hiérarchisée et autoritaire. Il finit par s’en détacher afin de libérer sa pensée de toute organisation et de tout dogme.
Corolaire de sa philosophie, la conception pédagogique de Krishnamurti est fondée sur la libération de l’enfant de tout conditionnement de sa pensée. Cela se traduit notamment par des sessions de cours dédiées au questionnement des étudiants – par exemple sur la vie ou encore sur le sens des études. En cela, son approche s’apparente à la méthode socratique « d’accouchement des esprits ».
Pour atteindre cet idéal, Krishnamurti préconise l’école ouverte, où l’enseignant doit avant tout accompagner l’élève à devenir ce qu’il est et non ce que la société souhaiterait qu’il soit.
Ce qui fonde la qualité d’un bon enseignant, selon lui, c’est sa faculté d’empathie lui permettant de mieux comprendre l’élève. En outre, Krishnamurti estime la formation académique des enseignants délétère. En effet, en apprenant « l’art d’enseigner », l’enseignant finit par transmettre inévitablement le conditionnement de sa pensée à l’élève.
Et Krishnamurti, ça donne quoi aujourd’hui ?
On dénombre de nombreuses écoles qui sont soit directement créées par la fondation Krishnamurti soit qui s’inspirent de ses préceptes pédagogiques, principalement dans le monde anglo-saxon (Inde, États-Unis, Angleterre, Canada). Krishnamurti est resté une référence intellectuelle de premier plan, et ses publications dédiées à sa pensée ou encore à la méditation sont des best-sellers.
La pensée pédagogique de Krishnamurti se cantonne à des principes généraux, si bien que les écoles qui suivent ses préceptes présentent des différences très marquées en matière de configurations de la classe, de programme pédagogique… Par conséquent, il n’existe pas un « modèle » Krishnamurti, mais plutôt un esprit général, qui cohabite et oriente divers systèmes éducatifs.
Quelques ouvrages de Krishnamurti à consulter :
– De l’Éducation
– Apprendre est l’essence de la vie
– Lettre aux écoles
– Réponses sur l’éducation
Quand on se forme au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, on est éligible à un coaching offert pour trouver un emploi (pas de jaloux : il est inclus qu’on recherche un CDI ou une alternance). voir la page coaching chez OpenClassrooms
dans le cadre de la recherche d’emploi
Pour tous les programmes, notamment les formations diplômantes en ligne, « notre objectif, est que chacun trouve un emploi qui lui plaise le plus rapidement possible, explique Marie. C’est la raison pour laquelle un coach expert en recrutement accompagne chaque personne. Cela réduit le temps de recherche et fait une vraie différence ! », s’enthousiasme-t-elle.
Le chemin de libération proposé par la pratique zazen, chaque jour, une demi-heure, est un enseignement qui n’utilise pas les moyens d’une pensée analytique, discursive, ni ne prend la forme d’une croyance dogmatique ou d’une métaphysique spéculative. L’enseignement se présente comme UN CHEMIN D’EXPÉRIENCE ET D’EXERCICE. Zazen est un exercice strictement corporel! Bien. Mais que se passe-t-il lorsqu’on pratique régulièrement zazen? Je ne me donne pas le droit de répondre à cette question. À chacun de découvrir ce qui se passe, ce qu’on appelle le vécu intérieur, l’expérience phénoménale. Cependant il est possible d’affirmer un effet signifiant: «Lorsqu’on pratique zazen, le corps-vivant prend la forme du calme». Et cela se voit dans notre manière d’être assis, notre manière de marcher, notre manière d’être au monde.
Je prépare un titre de responsable d’ingénierie pédagogique diplôme niveau 6 (Bac+3/4) – enregistré au RNCP afin de développer les compétences quant à la création d’expériences d’apprentissage parfaitement adaptées à mes objectifs, mes publics et mes ressources.
Dans la foulée du projet 1, je m’investis pour avoir un LinkedIn comme un lieu ou j’évoque ma formation ; par exemple de prévois de faire tous les 15 jours un court article en disant ou j’explique être en formation d’IRP dans une boite française qui s’appelle Openclassrooms. Le cursus est réalisé avec une pédagogie par projet en produisant des livrables ; j’organise ma semaine avec
35h de [cours en ligne et d’actions : réaliser, gérer, produire, écrire, présenter ] ,
7h de guitare, 7h de méditation et 3 heures de sport.
Ça peut être une présence sur la toile au travers de mon profil LinkedIn, un moyen de me faire connaître pour ma futur employabilité par mes articles et mon planning de travail. C’est pour moi une sorte de résumé de ce que je fais sans donner de nom bien sûr !
C’est aussi l’idée du journal de bord compagnon de route…
J’ai fait le choix de me former, c’est un premier bon pas pour un ingénieur pédagogique ou un responsable de formation. Je le fais entièrement en ligne, ce qui veut dire que je vais faire l’expérience d’un modèle pédagogique nouveau !
Ce premier projet est un peu spécial dans le sens où il est beaucoup plus court et moins scénarisé que les autres. En fait, j’y joue mon propre rôle de futur ingénieur pédagogique déterminé à se lancer sur le marché.
Je le prends comme un échauffement avant de rentrer dans le vif du sujet !
2) Livrables
Pour réussir ce premier projet, je dois livrer à mon mentor :
Un paragraphe détaillant mes objectifs
très court terme : 1 semaine
court terme : 1 mois
moyen terme : 6 mois
long terme : à l’issue de ma formation
Un écrit court (forme libre). Dans celui-ci, je sélectionnerai 3 ou 4 compétences significatives (pour moi) du parcours, j’en donnerai ma définition et expliquerai ce qu’elles représentent pour moi.
Un plan d’apprentissage avec les dates de livraison provisoires de tous les projets de la formation
Un journal de bord avec mes notes sur mes premières séances d’apprentissage sur OpenClassrooms.
Pour faciliter mon passage au jury, je dépose sur la plateforme, dans un dossier nommé “P1_eric_bourgeois”, tous les livrables du projet.
Chaque livrable doit être nommé avec le numéro du projet et selon l’ordre dans lequel il apparaît, par exemple :
“P1_01_paragraphe”,
“P1_02_écritcourt,
et ainsi de suite.
Comment suis-je censé faire tout ça ?
Pour m’aider à réaliser mes livrables ce ne sont pas les ressources qui manquent.
Pour chaque projet, je pourrai m’appuyer sur des cours associés à celui-ci. Ils me donneront tous les moyens pour réussir. « Nous espérons que vous prendrez plaisir à les suivre. Cela dit, ce ne sont pas des solutions ultimes et miraculeuses, ce sont ni plus ni moins que des ressources ». En fait, les cours sont optionnels, rien ne m’oblige à les suivre. En revanche, si mon mentor me recommande de les suivre, j’écoute ses conseils.
Mon mentor est une autre ressource sur laquelle je peux capitaliser. Ce professionnel du domaine est là pour m’accompagner, me guider, me faire des retours constructifs, en d’autres termes me faire profiter de son expérience.
Mon mentor n’est pas là pour me donner des solutions mais pour m’aider à trouver les solutions par moi-même.
De plus, Internet regorge de ressources. Lorsque je rencontre une difficulté, le prends l’habitude de faire une recherche puis de sélectionner et consulter des sources fiables pour mieux comprendre mon problème et peut-être trouver d’autres personnes qui l’ont rencontré avant vous.
Enfin, je note que toute la communauté étudiante premium plus d’OpenClassrooms est joignable sur Workplace, un forum dédié à l’entraide. Je m’intègre à la communauté en renseignant mon profil et en me présentant en quelques mots. Je pourrai ensuite me faire épauler par des étudiants plus avancés dans le parcours, échanger avec des étudiants au même stade que moi et à mon tour prêter main forte à ceux qui commencent.
« Renseignez votre profil et décrivez-vous en quelques mots pour engager la conversation. Nous comptons sur vous pour entretenir une atmosphère d’apprentissage saine. Abordez vos collègues avec humilité et bienveillance, sollicitez et donnez des critiques constructives, partagez vos réussites et vos échecs pour en faire profiter la communauté. »
Projet d’article LinkedIn sur le démarrage de ma formation.
À la suite de 23 ans d’expérience de formateur, dans ce contexte de pandémie où les échanges en ligne se démultiplient, pour BOOSTEZ ma CARRIÈRE je commence une formation avec une entreprise française qui s’appelle OpenClassrooms, elle propose des cours certifiants RNCP et le parcours Ingénieur Responsable Pédagogique (IRP). C’est une pédagogie par projets, il y a 8 missions et soutenances qui demandent un gros investissement de soi, la diversité des projets me fera endosser de nombreux rôle possible d’IRP.
Je prévois de vous tenir au courant de mon évolution au fur et à mesure de ma progression…
Mon objectif est de faire bénéficier mon expérience concrète de la formation aux acteurs du marché du E-learning, sachant dès à présent l’adapter aux évolutions techniques et administratives d’aujourd’hui !
Le HTML et le CSS sont des langages web de base ; on commence donc généralement par leur apprentissage car ils sont assez simples à comprendre et car ils sont incontournables.
Ma sœur adorée, tes larmes me touchent profondément, oui je connais par cœur ton vécu du moment. Je sais la souffrance de la peur de perdre être cher, en plus il y a le contexte de la pandémie où tout s’arrête. C’est presque l’immobilité forcée ; on est pas loin de l’immobilité intérieure.
Je crois que tu as conscience de ce qui ce passe dans ton mental, au lieu de t’identifier à ce qui se passe, observe ce qui s’y passe, c’est très différent, ce niveau de lucidité est comme une différente dimension de conscience, ce n’est pas la même que la pensée.
La conscience peu reconnaître quelles pensées sont dans ton mental et tu réalises quelles sont les pensées inutiles, il y a une conscience de… ce qui se passe dans ton mental ne t’aide pas, ça te rend inquiète et malheureuse.
Ton mental te dit que ça pourrait arriver maintenant et qu’il vaut mieux y penser au cas où cela ce produirait mais si ça se produisait vraiment, tu pourras faire face à ce qui arrive avec le pouvoir de ta conscience tu pourras faire face à la perte d’un être cher.
Avec le pouvoir de ta présence tu peux surmonter cela ! Avec un minimum de conscience tu peux devenir consciente de ce que tu t’inflige à toi-même, tu ne te l’infliges pas volontairement mais ça t’arrive, la pensée s’impose à toi, tu es à la merci du champ d’énergie de la pensée mais tu ne le sais pas.
L’étape suivante consiste à réaliser que ce n’est pas vraiment toi qui t’inflige ça, est c’est déjà un bon début. Sache que c’est juste la forme pensée égoïste, qui tourbillonne continuellement dans ton mental et te fait souffrir. Cela n’a aucun but utile…
En posture de méditation dans le silence et l’immobilité et en prenant conscience de ce qui se passe dans ton mental, il te viendra un moment de liberté. Souviens-toi de nos séances de méditation matinales chez Marc en 2013. Redirige ton attention ailleurs, sur tes mains d’artiste par exemple !