Les étonnantes vertus de la méditation | ARTE – YouTube

La méditation a fait ces dernières années l’objet de recherches scientifiques qui ont confirmé ses effets dans un certain nombre de domaines.
Un documentaire qui se penche sur ces bienfaits pour notre santé et les potentielles applications médicales de cette pratique.[/br]

Psychiatres, neurologues et biologistes moléculaires s’intéressent de plus en plus aux effets bénéfiques de la méditation sur le fonctionnement de notre cerveau et de notre organisme. Leurs découvertes récentes ont permis de faire entrer des techniques de méditation dans les hôpitaux, aux États-Unis et en Europe, où elles sont utilisées, en accompagnement thérapeutique, pour réduire, notamment, les douleurs chroniques et le stress lié à de nombreuses pathologies.

Krishnamurti, c’est qui ?!

Source : PEDAGOGO #5 – JIDDU KRISHNAMURTI

Chaque lundi, nous vous proposons de voyager dans l’Histoire de la pédagogie, à travers les portraits des plus grands pédagogues et théoriciens qui ont influencé nos modèles contemporains.

Krishnamurti, c’est qui ?!

Né à Madanapalle (Inde) en 1895, Krishnamurti est un philosophe indien au parcours peu commun ! Éduqué en Angleterre par les fondateurs de la Société théosophique – un nouveau courant spirituel –, Krishnamurti était destiné à incarner le rôle de messie pour cette religion très hiérarchisée et autoritaire. Il finit par s’en détacher afin de libérer sa pensée de toute organisation et de tout dogme.

Corolaire de sa philosophie, la conception pédagogique de Krishnamurti est fondée sur la libération de l’enfant de tout conditionnement de sa pensée. Cela se traduit notamment par des sessions de cours dédiées au questionnement des étudiants – par exemple sur la vie ou encore sur le sens des études. En cela, son approche s’apparente à la méthode socratique « d’accouchement des esprits ».

Pour atteindre cet idéal, Krishnamurti préconise l’école ouverte, où l’enseignant doit avant tout accompagner l’élève à devenir ce qu’il est et non ce que la société souhaiterait qu’il soit.

Ce qui fonde la qualité d’un bon enseignant, selon lui, c’est sa faculté d’empathie lui permettant de mieux comprendre l’élève. En outre, Krishnamurti estime la formation académique des enseignants délétère. En effet, en apprenant « l’art d’enseigner », l’enseignant finit par transmettre inévitablement le conditionnement de sa pensée à l’élève.

Et Krishnamurti, ça donne quoi aujourd’hui ?

On dénombre de nombreuses écoles qui sont soit directement créées par la fondation Krishnamurti soit qui s’inspirent de ses préceptes pédagogiques, principalement dans le monde anglo-saxon (Inde, États-Unis, Angleterre, Canada). Krishnamurti est resté une référence intellectuelle de premier plan, et ses publications dédiées à sa pensée ou encore à la méditation sont des best-sellers.

La pensée pédagogique de Krishnamurti se cantonne à des principes généraux, si bien que les écoles qui suivent ses préceptes présentent des différences très marquées en matière de configurations de la classe, de programme pédagogique… Par conséquent, il n’existe pas un « modèle » Krishnamurti, mais plutôt un esprit général, qui cohabite et oriente divers systèmes éducatifs.

Quelques ouvrages de Krishnamurti à consulter :

– De l’Éducation
– Apprendre est l’essence de la vie
– Lettre aux écoles
– Réponses sur l’éducation

Un documentaire sur la vie et la pensée de Krishnamurti.

La pratique zazen

Le chemin de libération proposé par la pratique zazen, chaque jour, une demi-heure, est un enseignement qui n’utilise pas les moyens d’une pensée analytique, discursive, ni ne prend la forme d’une croyance dogmatique ou d’une métaphysique spéculative. L’enseignement se présente comme UN CHEMIN D’EXPÉRIENCE ET D’EXERCICE.
Zazen est un exercice strictement corporel!
Bien. Mais que se passe-t-il lorsqu’on pratique régulièrement zazen? Je ne me donne pas le droit de répondre à cette question. À chacun de découvrir ce qui se passe, ce qu’on appelle le vécu intérieur, l’expérience phénoménale. Cependant il est possible d’affirmer un effet signifiant: «Lorsqu’on pratique zazen, le corps-vivant prend la forme du calme». Et cela se voit dans notre manière d’être assis, notre manière de marcher, notre manière d’être au monde.

Est-il bon de jeûner ? – Yuka

Source : Est-il bon de jeûner ? – Yuka

Notre corps est aujourd’hui habitué à être nourri de manière régulière. Pourtant, ça n’a pas toujours été le cas. Le jeûne existe depuis des milliers d’années et est souvent pratiqué par nécessité, quand la nourriture vient à manquer.

Il fait aujourd’hui de plus en plus d’adeptes auprès de personnes désireuses d’optimiser leur bien-être. Mais est-il vraiment bénéfique de jeûner ? Comment bien jeûner et quels sont les risques potentiels de cette pratique ?

Méditation mensuelle

avec Mika Denissot

« La méditation est un art de vivre »

Source : Méditation mensuelle avec Mika Denissot – Soul in a Mind

Pour se reconnecter avec soi-même, être plus présent à soi et aux autres autres, élever sa joie et son enthousiasme, partager et offrir sa contribution au monde.

Vous méditez seul depuis des années ou vous voulez démarrer la pratique de la méditation ?
Vous ne savez pas par où commencer, avec qui, ou quand, à quel rythme ?
Vous avez essayé mais vous continuez d’être stressé, vous essayez d’arrêter de penser et c’est l’inverse qui se produit.

Vous n’êtes pas seul dans ce cas.
C’est pourquoi j’ai créé ce programme de méditation mensuelle de un an, entièrement gratuit.

Depuis 1990, je pratique la méditation quotidiennement et sans relâche. Ma pratique principale est Anapanasati. C’est tout mon savoir et ma richesse de cœur que je souhaite partager avec vous.

Ce que Jean Pierre nous apprenait à RESPIRE 2012-2015

Chiné (tibétain) désigne dans le bouddhisme la « tranquillité de l’esprit » ou « quiétude »1, et par extension la première étape des pratiques de méditation bouddhique permettant de développer cet état. La deuxième étape de la méditation bouddhique est la pratique de vipassanā, la « vue profonde »2.

CHANT DU SENS PROFOND ET DÉFINITIF

Introduction « méditation bouddhique »

 

 

Le Bouddha Shâkyamuni en méditation.

La méditation bouddhique, théorisée et pratiquée dans le bouddhisme, diffère de la méditation dans son acception occidentale. Son but est l’atteinte du nirvāṇa. Il existe deux mots correspondant à « méditation » dans les langues classiques du bouddhisme : le mot sanskrit bhāvanā, qui signifie « cultiver, développer » et le mot tibétain gom, « se familiariser avec des qualités ».

La méditation bouddhique correspond toujours à une pratique posturale, mentale, relaxante et rigoureuse. Ainsi, si beaucoup de maîtres avancent qu’il faut utiliser chaque moment de la vie pour pratiquer, il reste néanmoins une distinction fondamentale entre ces pratiques strictes que sont les méditations bouddhiques et la pratique en général du Noble Chemin Octuple.

Certaines des techniques méditatives de Bouddha ont été partagées avec d’autres traditions de son temps. L’Inde des yogas proposait plusieurs voies qui influencèrent les techniques bouddhiques.

L’apprentissage des pratiques méditatives doit se faire auprès d’un instructeur qualifié.

Si le bouddhisme est souvent associé dans l’imaginaire occidental à la méditation, la place de celle-ci dans la pratique religieuse est en réalité très variable suivant les écoles, et souvent sur-estimée en Occident1.

Présentation succincte selon les écoles

La méditation a toujours été centrale au bouddhisme. Le Bouddha historique a atteint l’éveil tout en méditant sous l’arbre de la Bodhi. La plupart des formes de bouddhisme distinguent deux classes de pratiques en matière de méditation pour atteindre l’illumination :

  • shamatha (calme) développe la capacité de focaliser l’attention en un seul point;
  • vipassanā (vision) développe la perspicacité et la sagesse en voyant la vraie nature de la réalité.

Différencier ces deux types de pratiques n’est pas toujours aisé. Cependant certaines pratiques prétendent à une délimitation stricte. Par exemple des méthodes d’Ānāpānasati (respiration) commencent en shamatha, et se terminent en une pratique de vipassana, tandis que d’autres pratiquent l’ordre inverse.

La plupart des écoles traditionnelles bouddhistes reconnaissent que la voie d’accès à l’illumination nécessite trois types de pratique : la vertu (Śīla), la méditation (citta) et la sagesse (prajna)2. Ainsi, la seule prouesse méditative n’est pas suffisante ; elle n’est qu’une partie de la voie d’accès. En d’autres termes, dans le bouddhisme, l’érudition intellectuelle, le développement moral et la compréhension avisée sont tous nécessaires pour l’accomplissement du plus haut objectif3.

Le grand RESET :

La seconde vague sera monétaire et économique.
Et c’est demain matin !

Blog d’Éric

Le blog permet d’éclaircir ses pensées et de garder un chemin.

Coïncidence | Mushotoku (glossaire azs93.fr)
Sans recherche de profit personnel, qu’il soit matériel ou spirituel. Zazen se réalise lorsque l’esprit est mushotoku, sans but, sans intention, sans calcul. Il n’y a rien à rechercher, rien à obtenir. L’univers entier fonctionne sur le mode de mushotoku.

Pratique : Il faut laisser l’esprit être comme il est, fragmenté. Quand on suit ses pensées, l’esprit n’est plus fragmenté. La condition normale est d’avoir un esprit fragmenté. La condition normale est de penser. Mais il faut veiller à ne pas laisser ses pensées s’enchaîner les unes avec les autres comme les wagons d’un train. En pratiquant zazen, on arrive à ne plus s’attacher aux pensées. On ne court pas après, on ne les fuit pas non plus, on les laisse passer. On suit sa respiration sans vouloir quoi que ce soit.

Site de l’association Respire (autoriser « Flash » pour voir l’animation
et pointer la souris sur RESPIRE…)