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Le chemin de libération proposé par la pratique zazen, chaque jour, une demi-heure, est un enseignement qui n’utilise pas les moyens d’une pensée analytique, discursive, ni ne prend la forme d’une croyance dogmatique ou d’une métaphysique spéculative. L’enseignement se présente comme UN CHEMIN D’EXPÉRIENCE ET D’EXERCICE. Zazen est un exercice strictement corporel! Bien. Mais que se passe-t-il lorsqu’on pratique régulièrement zazen? Je ne me donne pas le droit de répondre à cette question. À chacun de découvrir ce qui se passe, ce qu’on appelle le vécu intérieur, l’expérience phénoménale. Cependant il est possible d’affirmer un effet signifiant: «Lorsqu’on pratique zazen, le corps-vivant prend la forme du calme». Et cela se voit dans notre manière d’être assis, notre manière de marcher, notre manière d’être au monde.
Je prépare un titre de responsable d’ingénierie pédagogique diplôme niveau 6 (Bac+3/4) – enregistré au RNCP afin de développer les compétences quant à la création d’expériences d’apprentissage parfaitement adaptées à mes objectifs, mes publics et mes ressources.
Dans la foulée du projet 1, je m’investis pour avoir un LinkedIn comme un lieu ou j’évoque ma formation ; par exemple de prévois de faire tous les 15 jours un court article en disant ou j’explique être en formation d’IRP dans une boite française qui s’appelle Openclassrooms. Le cursus est réalisé avec une pédagogie par projet en produisant des livrables ; j’organise ma semaine avec
35h de [cours en ligne et d’actions : réaliser, gérer, produire, écrire, présenter ] ,
7h de guitare, 7h de méditation et 3 heures de sport.
Ça peut être une présence sur la toile au travers de mon profil LinkedIn, un moyen de me faire connaître pour ma futur employabilité par mes articles et mon planning de travail. C’est pour moi une sorte de résumé de ce que je fais sans donner de nom bien sûr !
C’est aussi l’idée du journal de bord compagnon de route…
J’ai fait le choix de me former, c’est un premier bon pas pour un ingénieur pédagogique ou un responsable de formation. Je le fais entièrement en ligne, ce qui veut dire que je vais faire l’expérience d’un modèle pédagogique nouveau !
Ce premier projet est un peu spécial dans le sens où il est beaucoup plus court et moins scénarisé que les autres. En fait, j’y joue mon propre rôle de futur ingénieur pédagogique déterminé à se lancer sur le marché.
Je le prends comme un échauffement avant de rentrer dans le vif du sujet !
2) Livrables
Pour réussir ce premier projet, je dois livrer à mon mentor :
Un paragraphe détaillant mes objectifs
très court terme : 1 semaine
court terme : 1 mois
moyen terme : 6 mois
long terme : à l’issue de ma formation
Un écrit court (forme libre). Dans celui-ci, je sélectionnerai 3 ou 4 compétences significatives (pour moi) du parcours, j’en donnerai ma définition et expliquerai ce qu’elles représentent pour moi.
Un plan d’apprentissage avec les dates de livraison provisoires de tous les projets de la formation
Un journal de bord avec mes notes sur mes premières séances d’apprentissage sur OpenClassrooms.
Pour faciliter mon passage au jury, je dépose sur la plateforme, dans un dossier nommé “P1_eric_bourgeois”, tous les livrables du projet.
Chaque livrable doit être nommé avec le numéro du projet et selon l’ordre dans lequel il apparaît, par exemple :
“P1_01_paragraphe”,
“P1_02_écritcourt,
et ainsi de suite.
Comment suis-je censé faire tout ça ?
Pour m’aider à réaliser mes livrables ce ne sont pas les ressources qui manquent.
Pour chaque projet, je pourrai m’appuyer sur des cours associés à celui-ci. Ils me donneront tous les moyens pour réussir. « Nous espérons que vous prendrez plaisir à les suivre. Cela dit, ce ne sont pas des solutions ultimes et miraculeuses, ce sont ni plus ni moins que des ressources ». En fait, les cours sont optionnels, rien ne m’oblige à les suivre. En revanche, si mon mentor me recommande de les suivre, j’écoute ses conseils.
Mon mentor est une autre ressource sur laquelle je peux capitaliser. Ce professionnel du domaine est là pour m’accompagner, me guider, me faire des retours constructifs, en d’autres termes me faire profiter de son expérience.
Mon mentor n’est pas là pour me donner des solutions mais pour m’aider à trouver les solutions par moi-même.
De plus, Internet regorge de ressources. Lorsque je rencontre une difficulté, le prends l’habitude de faire une recherche puis de sélectionner et consulter des sources fiables pour mieux comprendre mon problème et peut-être trouver d’autres personnes qui l’ont rencontré avant vous.
Enfin, je note que toute la communauté étudiante premium plus d’OpenClassrooms est joignable sur Workplace, un forum dédié à l’entraide. Je m’intègre à la communauté en renseignant mon profil et en me présentant en quelques mots. Je pourrai ensuite me faire épauler par des étudiants plus avancés dans le parcours, échanger avec des étudiants au même stade que moi et à mon tour prêter main forte à ceux qui commencent.
« Renseignez votre profil et décrivez-vous en quelques mots pour engager la conversation. Nous comptons sur vous pour entretenir une atmosphère d’apprentissage saine. Abordez vos collègues avec humilité et bienveillance, sollicitez et donnez des critiques constructives, partagez vos réussites et vos échecs pour en faire profiter la communauté. »
Projet d’article LinkedIn sur le démarrage de ma formation.
À la suite de 23 ans d’expérience de formateur, dans ce contexte de pandémie où les échanges en ligne se démultiplient, pour BOOSTEZ ma CARRIÈRE je commence une formation avec une entreprise française qui s’appelle OpenClassrooms, elle propose des cours certifiants RNCP et le parcours Ingénieur Responsable Pédagogique (IRP). C’est une pédagogie par projets, il y a 8 missions et soutenances qui demandent un gros investissement de soi, la diversité des projets me fera endosser de nombreux rôle possible d’IRP.
Je prévois de vous tenir au courant de mon évolution au fur et à mesure de ma progression…
Mon objectif est de faire bénéficier mon expérience concrète de la formation aux acteurs du marché du E-learning, sachant dès à présent l’adapter aux évolutions techniques et administratives d’aujourd’hui !
Ma sœur adorée, tes larmes me touchent profondément, oui je connais par cœur ton vécu du moment. Je sais la souffrance de la peur de perdre être cher, en plus il y a le contexte de la pandémie où tout s’arrête. C’est presque l’immobilité forcée ; on est pas loin de l’immobilité intérieure.
Je crois que tu as conscience de ce qui ce passe dans ton mental, au lieu de t’identifier à ce qui se passe, observe ce qui s’y passe, c’est très différent, ce niveau de lucidité est comme une différente dimension de conscience, ce n’est pas la même que la pensée.
La conscience peu reconnaître quelles pensées sont dans ton mental et tu réalises quelles sont les pensées inutiles, il y a une conscience de… ce qui se passe dans ton mental ne t’aide pas, ça te rend inquiète et malheureuse.
Ton mental te dit que ça pourrait arriver maintenant et qu’il vaut mieux y penser au cas où cela ce produirait mais si ça se produisait vraiment, tu pourras faire face à ce qui arrive avec le pouvoir de ta conscience tu pourras faire face à la perte d’un être cher.
Avec le pouvoir de ta présence tu peux surmonter cela ! Avec un minimum de conscience tu peux devenir consciente de ce que tu t’inflige à toi-même, tu ne te l’infliges pas volontairement mais ça t’arrive, la pensée s’impose à toi, tu es à la merci du champ d’énergie de la pensée mais tu ne le sais pas.
L’étape suivante consiste à réaliser que ce n’est pas vraiment toi qui t’inflige ça, est c’est déjà un bon début. Sache que c’est juste la forme pensée égoïste, qui tourbillonne continuellement dans ton mental et te fait souffrir. Cela n’a aucun but utile…
En posture de méditation dans le silence et l’immobilité et en prenant conscience de ce qui se passe dans ton mental, il te viendra un moment de liberté. Souviens-toi de nos séances de méditation matinales chez Marc en 2013. Redirige ton attention ailleurs, sur tes mains d’artiste par exemple !
Notre corps est aujourd’hui habitué à être nourri de manière régulière. Pourtant, ça n’a pas toujours été le cas. Le jeûne existe depuis des milliers d’années et est souvent pratiqué par nécessité, quand la nourriture vient à manquer.
Il fait aujourd’hui de plus en plus d’adeptes auprès de personnes désireuses d’optimiser leur bien-être. Mais est-il vraiment bénéfique de jeûner ? Comment bien jeûner et quels sont les risques potentiels de cette pratique ?
Pour se reconnecter avec soi-même, être plus présent à soi et aux autres autres, élever sa joie et son enthousiasme, partager et offrir sa contribution au monde.
Vous méditez seul depuis des années ou vous voulez démarrer la pratique de la méditation ? Vous ne savez pas par où commencer, avec qui, ou quand, à quel rythme ? Vous avez essayé mais vous continuez d’être stressé, vous essayez d’arrêter de penser et c’est l’inverse qui se produit.
Vous n’êtes pas seul dans ce cas. C’est pourquoi j’ai créé ce programme de méditation mensuelle de un an, entièrement gratuit.
Depuis 1990, je pratique la méditation quotidiennement et sans relâche. Ma pratique principale est Anapanasati. C’est tout mon savoir et ma richesse de cœur que je souhaite partager avec vous.
Ce que Jean Pierre nous apprenait à RESPIRE 2012-2015
Chiné (tibétain) désigne dans le bouddhisme la « tranquillité de l’esprit » ou « quiétude »1, et par extension la première étape des pratiques de méditation bouddhique permettant de développer cet état. La deuxième étape de la méditation bouddhique est la pratique de vipassanā, la « vue profonde »2.
La méditation bouddhique, théorisée et pratiquée dans le bouddhisme, diffère de la méditation dans son acception occidentale. Son but est l’atteinte du nirvāṇa. Il existe deux mots correspondant à « méditation » dans les langues classiques du bouddhisme : le mot sanskrit bhāvanā, qui signifie « cultiver, développer » et le mot tibétain gom, « se familiariser avec des qualités ».
La méditation bouddhique correspond toujours à une pratique posturale, mentale, relaxante et rigoureuse. Ainsi, si beaucoup de maîtres avancent qu’il faut utiliser chaque moment de la vie pour pratiquer, il reste néanmoins une distinction fondamentale entre ces pratiques strictes que sont les méditations bouddhiques et la pratique en général du Noble Chemin Octuple.
Certaines des techniques méditatives de Bouddha ont été partagées avec d’autres traditions de son temps. L’Inde des yogas proposait plusieurs voies qui influencèrent les techniques bouddhiques.
L’apprentissage des pratiques méditatives doit se faire auprès d’un instructeur qualifié.
Si le bouddhisme est souvent associé dans l’imaginaire occidental à la méditation, la place de celle-ci dans la pratique religieuse est en réalité très variable suivant les écoles, et souvent sur-estimée en Occident1.
Présentation succincte selon les écoles
La méditation a toujours été centrale au bouddhisme. Le Bouddha historique a atteint l’éveil tout en méditant sous l’arbre de la Bodhi. La plupart des formes de bouddhisme distinguent deux classes de pratiques en matière de méditation pour atteindre l’illumination :
shamatha (calme) développe la capacité de focaliser l’attention en un seul point;
vipassanā (vision) développe la perspicacité et la sagesse en voyant la vraie nature de la réalité.
Différencier ces deux types de pratiques n’est pas toujours aisé. Cependant certaines pratiques prétendent à une délimitation stricte. Par exemple des méthodes d’Ānāpānasati (respiration) commencent en shamatha, et se terminent en une pratique de vipassana, tandis que d’autres pratiquent l’ordre inverse.
La plupart des écoles traditionnelles bouddhistes reconnaissent que la voie d’accès à l’illumination nécessite trois types de pratique : la vertu (Śīla), la méditation (citta) et la sagesse (prajna)2. Ainsi, la seule prouesse méditative n’est pas suffisante ; elle n’est qu’une partie de la voie d’accès. En d’autres termes, dans le bouddhisme, l’érudition intellectuelle, le développement moral et la compréhension avisée sont tous nécessaires pour l’accomplissement du plus haut objectif3.
Le grand RESET :
La seconde vague sera monétaire et économique. Et c’est demain matin !
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